Les charpentiers-menuisiers

« Menuisiers globe-trotteurs », peut-on lire en couverture de plusieurs brochures et ouvrages traitant d’importants monuments bâtis du Québec et d’ailleurs : ambassades, barrages hydroélectriques, chantiers éoliens… Oui, les Paspéyas sont partout, comme foremen dans des chantiers de l’Ontario, dans le Nord-du-Québec, sur la Côte-Nord et, sans surprise, aux quatre coins du globe, du Sri Lanka à l’Algérie. Incursion dans cet univers teinté par la transmission du savoir-faire lié à la transformation du bois et à la construction, une expertise bien à nous.

Des travailleurs posent fièrement devant le BB. Photo : page couverture de la revue Énergies, de la Société de l'Énergie de la Baie-James, 1996.

Une économie du bois multifacette

Les racines de la tradition charpentière de Paspébiac sont ancrées dans l’économie des pêches et des besoins accrus en bois pour les compagnies jersiaises, comme la Charles Robin & Company (et ses raisons sociales subséquentes) ainsi que la Le Boutillier Brothers, qui possèdent toutes deux leurs sièges sociaux à Paspébiac. Ainsi, dans la Baie-des-Chaleurs, la ressource forestière est sollicitée pour la construction navale dès la fondation de Paspébiac en 1766. Au début des années 1790, Charles Robin, qui, jusque-là, faisait affaire avec Jersey pour la construction de ses bateaux, établit un important chantier maritime sur le barachois de Paspébiac. James Day devient le maître charpentier, concevant des bateaux de tous genres pour le commerce de la morue vers l’Italie, le Brésil et les Antilles, notamment.

Déjà, dès 1830, Paspébiac construit 21 % des navires de l’Empire britannique!

Mais l’économie des pêches ne sollicitera pas le bois uniquement pour les besoins en construction navale. Selon l’historien André Lepage, la majorité des établissements de pêche de la Côte-Nord sont construits à partir du savoir-faire des maîtres charpentiers de Paspébiac (comme celui de Magpie, par exemple) et avec du bois des environs. Plusieurs années plus tard, le bois de sciage supplante la demande en bois de chauffage et en bois équarri. C’est le début des scieries gaspésiennes.

Arthur Lismer, Le chantier naval de Paspébiac en 1927. Musée des Beaux-Arts du Canada

Chez les Robin, une tradition de charpentiers de navire

Dès 1791, une main-d’œuvre spécialisée en travail du bois et du feu sera recrutée par la compagnie Robin. Tonneliers, ferblantiers, cordiers et voiliers permettent à la compagnie de sortir de son chantier maritime en moyenne deux bateaux par année.

En 1860, la compagnie Robin emploie en permanence plus d’une trentaine de charpentiers.

Varlope de la Charles Robin and Company (CRC). Photo : Jeannot Bourdages, 2021. Site historique national de Paspébiac.
Inventaire des outils de charpenterie de la compagnie Robin, 1904. Photo : Musée de la Gaspésie. Fonds Robin, Jones and Whitman. P8/1/4/8.
James Day
Bateau L'Union de la compagnie Robin.

Selon l’historien Élie Fallu, le contremaître du chantier maritime entre 1825 et 1829 est James Day. Ce dernier serait l’un des premiers charpentiers de navire à être embauchés dans le cadre de l’inauguration du chantier maritime en 1791. Originaire de l’île de Wight, en Angleterre, il décède vers 1833.

James Day figure dans le recensement de 1825 – il est alors à New Carlisle – ainsi que dans le recensement de 1831. Il est alors dit « fermier », avec trois personnes dans sa famille. Il était aussi major dans le Second Bataillon du District de Gaspé en 1927, et avait aussi un moulin à farine près de Fauvel, à Bonaventure. Selon une source inconnue, le moulin Day aurait été construit en 1827 et aurait été en service jusqu’en 1926 par les descendants de James Day. Enfin, notre charpentier deviendra juge de paix et signera plusieurs actes pour Martin Sheppard.

 

Selon l’historien MacDougall, James Day [repris par Kim Morrison] :

« Day had ship carpenters working under him, some of whom were local men. In addition there were sawyers whose job it was to cut planks, lumber-men cutting timber in the forest, black-smiths and probably sailmakers. No evidence has been found that there were other trades associated with shipbuilding such as rope makers and block makers; it can be assumed that some of the items needed to complete the rigging of the vessels were brought in from England, Quebec City or Halifax. The first boat was launched in 1792 and a long line of schooners, barques, brigantines and brigs designed by Day followed. On average a new ship took to sea every two years between 1791 and 1830. Day went on to build a gristmill and become a Justice of the Peace before he died in 1833. Within a few years of Day’s arrival other ship yards producing square-rigged vessels were established at New Richmond, Bonaventure, New Carlisle and Corner of the Beach. Square-rigged vessels were mainly used for trans-Atlantic voyages and sold in Great Britain, or were used by fish merchants to ship their dried and salted fish to Portugal, Spain, Italy, the West Indies, and South America. As the number of these vessels increased so did the number of schooners. »

Un homme occupé, comme en témoigne son patron, Charles Robin :

« Mr. Day’s gang is now preparing the timbers for the frame of the sharp vessel… As soon as that’s done we mean to put up one like the others, having all the timbers ready prepared. » (Letterbooks de Charles Robin)

 

il écrira également ceci :

« Mr. Day has now nearly 200 pces of timber cut wh he is siding and squaring, the latter being performed on the Logs, keelpieces and such. The main road is all made and after tomorrow, John Robin begins to superintend a gang wh will be making the cross roads fr each piece to the main road. Afterwards as soon as there is six to nine inches of snow, our drawing will take place. Some of our timber is four miles from us. » (Letterbooks de Charles Robin)

 

George Fallu

Arrivé à Paspébiac en 1828, George Fallu, du haut de ses 17 ans, est embauché par la Charles Robin and Collas Company. Il deviendra charpentier de navire au chantier naval de la compagnie, qui est fondé en 1791. Selon l’historien Élie Fallu, les bateaux construits durant le séjour de George sont le P.R.C., un brick de 111 tonneaux, et le Chagamau, une goélette de 84 tonneaux. Il quittera la région un peu plus tard et s’établira vers 1840 près de la rivière Nouvelle. Il se fera tour à tour bâtisseur de maisons, maire et membre fondateur de la Bay of Chaleurs Railway Company.

 

Photo : Collection Élie Fallu. George Fallu, charpentier de navire.
Photo : Jeannot Bourdages. Rabot appartenant à George Fallu, légué au Site historique national de Paspébiac en 2020 par Élie Fallu, historien.
Photo : Collection Élie Fallu. Le coffre de charpenterie de George Fallu et quelques uns de ses outils.
Photo : Jeannot Bourdages. Trusquin appartenant à George Fallu, généreusement légué au Site historique national de Paspébiac en 2020 par Élie Fallu, historien.
Photo : Jeannot Bourdages. Planeur de George Fallu, légué par Élie Fallu au Site historique national de Paspébiac en 2020.

La Charpenterie Robin

Charpenterie Robin, vers 1950. Photo : Musée de la Gaspésie. Fonds Carmen Roy. P106/39/1.
La Charpenterie Robin, avant sa restauration, vers 1988. Photo : Site historique national de Paspébiac.
La Charpenterie Robin. Photo : Jeannot Bourdages, 2021. Site historique national de Paspébiac.

La compagnie Robin fait venir de Jersey une main-d’œuvre spécialisée dans le travail du bois et du feu dès l’érection de son chantier naval. Un savoir-faire pullule dans ces chantiers. Tonneliers, cordiers et scieurs travaillent à la construction d’imposants navires, et des bâtiments sont spécialement érigés dans le cadre de leur travail.

Une étude de Jeannot Bourdages, conservateur du Site historique national de Paspébiac, donne un aperçu de l’histoire de ce bâtiment sur le Banc-de-pêche-de-Paspébiac :

« Pour sa part, l’actuelle Charpenterie Robin fait son apparition entre 1845 et 1866. Sur le plan de 1870, elle est désignée comme “Joiners and Mould Loft”. À notre avis, cela signifie que le rez-de-chaussée est utilisé comme atelier par les menuisiers (“joiners”). Pour sa part, le grenier (“loft”) serait plutôt utilisé pour le rangement des gabarits de fabrication des navires. En 1884, le bâtiment est désigné comme le “Joiners and Carpenters Mould Loft”. À ce moment, le rez-de-chaussée est ainsi utilisé à la fois pour les travaux de menuiserie et de charpenterie, donc pour la fabrication des pièces de petite et de grande taille. » (Jeannot Bourdages, 2021)

 

La Charpenterie Robin aujourd'hui. Photo : Jeannot Bourdages.
Quelques traces de leur passage…
Graffitis à la craie laissés par des artisans dans la Charpenterie Robin. Photo : Jeannot Bourdages, 2021. Site historique national de Paspébiac.
Photo : Camillia B. Pilon, 2020. Une tempête de neige en 1899... un 7 juin!!

...une tradition qui se continue, même aujourd'hui!

Un chaloupier

J. P. Gellie est chaloupier en 1878, selon les Documents de la session de la Puissance du Canada- 1878, (Volume 11, no.2, Documents de la session 1)

Roland Denis, constructeur de gaspésiennes
Photo : Jacqueline Denis. Son père Roland avec sa Gaspésienne numéro 3 (le deuxième) au quai de Paspébiac. Le premier serait celui d'Aldéric Parisé.
René Chapados et sa Marie-Thérèse
Marie-Thérèse près de la Gaspésienne qui porte son nom, en Nouvelle-Écosse. Photo : famille Chapados.
Marie-Thérèse et sa fille. Photo : famille Chapados.
Marcellin Parisé, spécialiste de la construction de barges
John Castilloux
Photo : Collection Ghislain Maldemay. John Castilloux (1919-2004).

Voici un témoignage de Ghislain Maldemay sur ce charpentier si talentueux :

« Mon beau-père John Castilloux (1919-2004). Charpentier-menuisier, homme de confiance de Peter et Laurence Legros chez Robin ainsi que de monsieur Eugene Bouillon. Il a travaillé à [plusieurs choses, dont] :

La construction de la polyvalente de Paspébiac et celle de Bonaventure, l’aréna, l’agrandissement du magasin Robin au sous-sol, la construction de l’église actuelle de Paspébiac, rénos intérieures et peinture de l’église en 1981, l’Auberge du Parc… [Il fut le] menuisier de Gérard D. Levesque pour son domicile ainsi que son concessionnaire automobile et on ne compte plus le nombre de constructions et de rénos de maisons [auxquelles il a participé]. Tous ceux qui ont connu John peuvent en témoigner. Son papa, Jean-Baptiste Castilloux (1893-1951), était charpentier-menuisier de renom à Paspébiac, et a fait beaucoup de travaux pour Robin et les particuliers. Si les tours de CHNC sont à l’endroit où elles sont dans le barachois, ben c’est [à cause de] Baptiste! » (Ghislain Maldemay, 2021)
Benjamin Parisé
Photo : Nancy Parisé. Benjamin Parisé et ses deux morues.

Benjamin Parisé [parfois orthographié « Parizé »], constructeur de bateaux et de navires, fut salué pour son travail remarquable pour la construction de 89 bateaux dans sa vie à l’occasion du Centenaire de Paspébiac 1877-1977. Il reçut à cette occasion un chèque et une plaque souvenir. En juin 1981, il coupe le ruban de l’inauguration du hangar Robin.

Il avait 90 ans en 1983.

Un bureau au garage E. P. Poirier porterait sa signature.

Photo : Collection de Ghislain Maldemay. Benjamin Parisé en août 1990.
Photo : Collection de Lucette Parisé. Frank Huard (à gauche), Benjamin Parisé (à droite). Semblerait-il que tous deux s'entendaient très bien!

Pour poursuivre la réflexion

Quelques uns de nos charpentiers

Pour les pêcheries

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier selon le recensement de 1891.

Charpentier selon le recensement de 1881.

Charpentier «de bateau» à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont ce menuisier.

Scieur à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Dans une conférence donnée par Lynden Béchervaise, historien, une lettre de 1808 de Phillip Béchervaise à son fils l’informe qu’il serait déshérité s’il s’unissait avec l’une des filles de Paspébiac.

Maître menuisier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Ouvrier de bois à Paspébiac-Ouest selon le recensement de 1891.

Charpentier en 1902?

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Là dès 1857?

Père de John Castilloux. Père et fils sont charpentiers-menuisiers. Selon Ghislain Maldemay, c’est grâce à lui que l’on peut compter sur les tours de CHNC.

Voici d’ailleurs ce que M. Maldemay en dit :

«Mon beau-père John Castilloux (1919-2004). Charpentier-menuisier, homme de confiance de Peter et Laurence Legros chez Robin ainsi que de Monsieur Eugene Bouillon. Il a travailler à la construction de la polyvalente de Paspébiac et celle de Bonaventure, l’aréna, agrandissement de Robin au sous-sol, la construction de l’église actuelle de Paspébiac, les rénovations intérieures et la peinture de l’église en 1981 et de l’Auberge du Parc, menuisier de Gérard D. Levesque pour son domicile ainsi que son concessionnaire automobile. On ne compte plus le nombre de constructions et de rénovations de maisons. Tout ceux qui ont connu John peuvent en témoigner. Son papa Jean-Baptiste Castilloux 1893-1951,était charpentier-menuisier de renom à Paspébiac, fait beaucoup de travaux pour Robin et les particuliers, si les tours de CHNC sont à l’endroit ou elles sont dans le barachois ben c’est Baptiste!»

Voir ci-haut

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Voir ci-haut

Là avant 1871

Là dès 1821, selon une lettre:

Là dès 1821, selon une lettre:

Charpentier selon le recensement de 1881.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont ce menuisier.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Voir ci-haut

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont John Gallie junior, qui est tourneur.

Charpentier de Jersey selon le recensement de 1901. Aussi en 1891.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Là dès 1848?

Chaloupier en 1877?

Charpentier selon le recensement de 1881.

Là dès 1821, selon une lettre:

Là dès 1821, selon une lettre:

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont ce tourneur.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont ce menuisier.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier selon le recensement de 1881.

Charpentier de Jersey selon le recensement de 1901.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Charpentier selon le recensement de 1901.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Charpentier selon le recensement de 1881.

Là dès 1821, selon une lettre:

Là dès 1821, selon une lettre:

Là dès 1821, selon une lettre:

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne. Un dénommé M. Lebrun est le maître charpentier alors que Pierre Fortin accoste à Paspébiac pour faire réparer son bateau, en 1857.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Là dès 1821, selon une lettre:

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Philip Le Gallais, en 1861, a 72 ans. Il est réputé demeurer à Paspébiac, marié avec Mary Holmes. Ils ont un «servant», Thomas Collette, qui venait d’Angleterre et avait 25 ans.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont ce menuisier.

Charpentier de Jersey selon le recensement de 1901.

Charpentier à Paspébiac selon le Lovell’s Canadian Directory de 1871. Arrivé de Jersey, il est charpentier de navire.

Charpentier selon le recensement de 1881.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871 et dans le Lovell’s Canadian Directory. 

Charpentier selon le recensement de 1881.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne. Toujours là en 1871, et son nom est alors John Beam, et il est menuisier.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Menuisier selon le recensement de 1881.

Charpentier à Paspébiac en 1871 dans le Lovell’s Canadian Directory.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont ce menuisier.

Charpentier en 1932?

L’un des derniers charpentiers de barges.

Charpentier selon le recensement de 1881.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne, dans Cox.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Charpentier à Paspébiac en 1871 selon le Lovell’s Canadian Directory. 

Charpentier à Paspébiac en 1871 selon le Lovell’s Canadian Directory. 

Selon André Lepage, en 1861, il y avait plus d’une trentaine de charpentiers, dont cette personne.

Charpentier à Paspébiac en 1871 selon le Lovell’s Canadian Directory.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Charpentier selon le recensement de 1881.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement le Lovell’s Canadian Directory de 1871.

Charpentier selon le recensement de 1881.

Là dès 1848?

Charpentier à Paspébiac selon le Lovell’s Canadian Directory. Il est fermier en 1861 selon Lepage.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Menuisier selon le recensement de 1881.

Charpentier et habitant selon le recensement de 1861.

Charpentier en 1861 selon le recensement.

Charpentier en 1861 selon le recensement.

Charpentier en 1861 selon le recensement.

Il aurait été maître-charpentier en 1824-1826.

À leur compte ou incertain

Effectue du travail sur bois, selon la Monographie de Paspébiac de 1977.

Voir plus haut

Collection de Lucie Delarosbil. Ses grands-parents paternels, Albertine Leblanc (1911-1975) et Émile Delarosbil (1906-1988), résidents de la 7e Avenue Est. Albertine était sage-femme, comme sa mère. Elle a eu 14 filleules et filleuls. De son côté, Émile était menuisier.

Charpentier et maître chaloupier.

Photo de Martine Horth avec la mention suivante: «Mes parents, Armand Horth (Philippe) et Irène Whittom. Il était menuisier et elle enseignante (Paspébiac, Saint-Jogues et Saint-Godefroi)»

Photo de Chantal Horth avec la mention suivante: «Maman Irène, papa Armand (à droite), avec Donald Whittom, neveu de maman et son épouse»

Quant à lui, Éric Denis en parle avec des termes élogieux:

« Toute une pièce d’homme, mon oncle Armand. Les gènes étaient boostés pour quasiment tout le monde dans cette famille-là. Je pense que c’était grand-père le plus petit, des gars du moins, et il n’était pas si petit, 6 pieds, très travaillant et fort. »

 

Photo de Karine HW avec la mention suivante : « Voici une photo de mon arrière-grand-père Pierre Horth (âgé de 17 ans), accompagné de ses voisins. Cette photo a été prise à Ottawa environ en 1905. Ceux debout de gauche à droite :

Pierre Horth (1888-1948)

Georges Joseph (1889-1963)

Jean-Abel Joseph (1890-?)

Ceux assis :

Thomas Joseph (1879-1953)

Laurent Joseph (1884-1959)

Photo appartenant à la famille.»

A construit la Marie-Thérèse avec René Chapados

Photo de Roseline Joseph avec la mention suivante: «Le couple au centre: Adélard Joseph et sa première femme Bertha Albert. Les deux autres adultes sont monsieur et madame Albert. Les enfants sur cette photo sont: Simone Albert, Bernard Albert, Guy Albert, Anita Albert.»

Photos de Roseline Joseph. Léo Joseph a travaillé à la construction de la prison de New Carlisle, et à la construction de l’aqueduc. Il a travaillé à Shelter Bay et à la construction de Sept-Iles. Construction et menuiserie. Il est déménagé à Montréal vers 1939, puis il est revenu à New Carlisle en 1946. Comme beaucoup de Gaspésiens, il allait travailler ailleurs régulièrement.

Ébéniste selon la Monographie de Paspébiac, 1977.

Photo de Frank Loisel qui travaillait le bois de pulpe, 1957. Photographe: Sigrada Loisel. Collection familiale de Donat Loisel.

Donalda Loisel en dira la chose suivante:

"Il a trimė très dur avec sa famille de dix enfants, on en a vu passer de ces billots dans notre cour. Il n'y avait pas de machine pour enlever l'écorce dans ce temps. Il était robuste et fort."

Selon Jean-Luc Lebrasseur, il fabriquait lui-même ses outils.

Sigrada Loisel, sa fille, en dit la chose suivante:

"Mon père, bel homme distingué et fort, c'était un homme de cette génération qui travaillait avec pas grand instrument, mais bon menuisier quand il entreprenait quelque chose à faire avec le bois; c’était toujours réussi. Cette photo parle"

 

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1871.

Fabriquant de meubles selon la Monographie de Paspébiac de 1977.

Charpentier; années inconnues.

Selon le recensement de 1921, il est charpentier à Paspébiac.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1921

Charpentier «de bateau» à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier de maisons à Paspébiac selon le recensement de 1911.

Charpentier à Paspébiac-Ouest selon le recensement de 1911.

Charpentier à Paspébiac-Ouest selon le recensement de 1911.

Charpentier à Paspébiac-Ouest selon le recensement de 1911.

Charpentier à Paspébiac-Ouest selon le recensement de 1911.

Il aurait travaillé à la réparation de la Poudrière dans les années 1980. 

Selon Réal Tremblay, «

Grand-père Félix Loisel était charpentier.
Il était venu travailler au Saguenay avec ses cousins Huard, Horth, et Aubut, sur la construction des moulins à papier!
Ils y sont tous resté collés!»

En 1827, il était charpentier, et aurait construit pour John Lamy, cabaretier.

Il était aussi briqueteur et a participé à la construction de l’église anglicane.

Alimentation

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